Google a confirmé que la prochaine mouture d'Android n'embarquera pas les interfaces de programmation d'Oracle actuellement au cœur d'une discorde judiciaires entre les deux sociétés.
Depuis 2010, Google est en grippe avec Oracle. La firme de Larry Ellison avait déposé une plainte contre le géant de la recherche en expliquant qu'Android enfreignait plusieurs de ses brevets. Aussi, le plaignant déclarait que Google avait violé les droits d'auteurs pour 37 interfaces de programmation Java au sein de sa machine virtuelle Dalvik.
Au cours des divers procès, Oracle a obtenu gain de cause devant la cour de Washington pour appliquer une protection intellectuelle à ses API. De son côté, Google a tenté d'annuler cette décision en portant l'affaire devant la Cour suprême des États-Unis. Mais en juin dernier, cette procédure d'appel a été rejetée et Oracle est donc légalement en mesure de commercialiser ses interfaces de programmation auprès de Google pour la conception de son OS mobile.
Mais Google a trouvé une parade. En effet, la société entend remplacer les interfaces de programmation Java par l'implémentation libre OpenJDK. Plus précisément à en juger par une modification effectuée au sein du code source, 8902 fichiers ont été affectés.
Google a confirmé cette stratégie auprès de Venturebeat et espère que ce changement simplifiera les travaux pour les développeurs. Reste que Google aurait certainement pu effectuer ces modifications bien plus tôt. Quoi qu'il en soit, la société entend désormais renforcer ses investissements au sein d'OpenJDK.
Depuis 2010, Google est en grippe avec Oracle. La firme de Larry Ellison avait déposé une plainte contre le géant de la recherche en expliquant qu'Android enfreignait plusieurs de ses brevets. Aussi, le plaignant déclarait que Google avait violé les droits d'auteurs pour 37 interfaces de programmation Java au sein de sa machine virtuelle Dalvik.
Au cours des divers procès, Oracle a obtenu gain de cause devant la cour de Washington pour appliquer une protection intellectuelle à ses API. De son côté, Google a tenté d'annuler cette décision en portant l'affaire devant la Cour suprême des États-Unis. Mais en juin dernier, cette procédure d'appel a été rejetée et Oracle est donc légalement en mesure de commercialiser ses interfaces de programmation auprès de Google pour la conception de son OS mobile.
Mais Google a trouvé une parade. En effet, la société entend remplacer les interfaces de programmation Java par l'implémentation libre OpenJDK. Plus précisément à en juger par une modification effectuée au sein du code source, 8902 fichiers ont été affectés.
Google a confirmé cette stratégie auprès de Venturebeat et espère que ce changement simplifiera les travaux pour les développeurs. Reste que Google aurait certainement pu effectuer ces modifications bien plus tôt. Quoi qu'il en soit, la société entend désormais renforcer ses investissements au sein d'OpenJDK.