Le réseau social s'est exprimé sur cette nouvelle affaire qui éclabousse.
C’est le nouveau scandale entourant le réseau social Facebook, juste derrière Cambridge Analytica. Le New York Times a révélé à travers une enquête que le réseau social aurait permis, il y a dix ans, à des constructeurs mobiles d’avoir accès aux informations personnelles des inscrits via des smartphones.
Seulement voilà : alors que d’un côté, Tim Cook, big boss d’Apple, nie une telle méthode, Facebook tente quant à lui de rassurer quant à un potentiel pillage des informations privées. A noter que, d’après le New York Times, on trouve dans la liste des constructeurs considérés comme des menaces par le gouvernement des Etats-Unis comme Huawei. Autant dire que Mark Zuckerberg est de nouveau parti pour de nouvelles explications face aux politiques du pays !
Facebook nie toutes les accusations du New York Times
Cette fois-ci, le réseau social de Mark Zuckerberg compte prendre les devants. Et pour cause : le géant explique que les accusations du New York Times sont infondées. Des accusations qui font écho d’API dédiées permettant aux constructeurs d’obtenir des données personnelles récoltées via Facebook par les constructeurs de smartphones qui étaient dans le coup. C’est Ime Archibong, vice-président des partenariats produit du réseau social, qui s’est expliqué dans une note de blog.
Au tout début des smartphones, la demande pour Facebook a dépassé notre capacité à créer des versions fonctionnelles du produit d’un modèle ou système d’exploitation à l’autre. Il est compliqué de s’en rappeler aujourd’hui mais, à l’époque, il n’y avait pas de magasins virtuels d’applications.
Facebook a donc collaboré, d’après ses dires, avec les sociétés de smartphones et développeurs de systèmes d’exploitation pour rendre Facebook fonctionnels chez tout le monde via des API dédiées. Une manière de recréer l’expérience du réseau social chez tout le monde de manière équitable. Ime Archibong termine en expliquant qu’aujourd’hui, ces API ne sont plus utilisées avec la puissance d’un Android ou iOS.
L’homme explique également que les constructeurs ne pouvaient pas profiter des API dédiées pour voler les données des utilisateurs et que tout était très contrôlé par le réseau social. L’unique but était de recréer une expérience convenable pour les utilisateurs sur mobile.
Source : Cette information et actualité qui a suscité notre intérêt, a été publiée sur le site begeek.fr que nous remercions. il nous a semblé pertinent de vous en faire profiter.
